Mme Meunier : D’une part, des travaux lourds menés à bien font du Neptunium une piscine salubre qui attire plus de monde: d’un autre côté, une ASBL qui fonctionne mal, depuis des années, par manque de transparence, non application des décisions, aucun suivi, l’inertie de la Commission mixte Neptunium-asbl—Collège, et malgré l’implication positive des « Usagers du Neptunium », l’accueil reste inexistant : les portiques, carte magnétique, couloirs tristes, valves vides, cafetaria désaffectée l’accentuent encore.
Des audits, assurés par Sibelga concernant les énergies ont eu lieu, (on attend d’avoir accès aux rapports), bientôt celle de Beliris (2007).Comment gérer les solutions proposées ?
Enfin, il semble que le budget de l’ASBL du Neptunium réserve une part importante (19.000 euros) à la rémunération des mandats de président et vice-président alors que la gestion laisse tant à désirer.
Si la volonté politique s’avère vouloir garder un service public de santé comme une piscine, performant, vivant, accueillant, il faut que le Collège effectue un suivi régulier de la gestion du Neptunium.
Mr De Herde confirme les travaux faits et à venir, les audits dont les rapports arrivent, l’existence de l’audit Beliris en 2007, la meilleure « santé » de la piscine, mais le Neptunium est l’ensemble le plus énergivore de la commune.
Mr Köse rappelle que l’ASBL est indépendante de la Commune. (moi, je me demande jusqu’où ?) et que tout travail mérite salaire (encore une fois, moi, je veux bien mais alors il faut travailler, c’est ce qui semble manquer suite à l’intervention sus-dite)
Mr De Herde fait distribuer un papier, il n’arrivera jamais au banc de la presse.