La présidente, Mme DECOUX, présente le budget et constate avec satisfaction qu’il n’y a pas de dettes.
Tour de table des représentants de parti :
– PS : Mr COURTHEOUX demande des détails des frais de fonctionnement.
– MR : Mr GUILLAUME relève pas moins de 7 points stigmatisant la mauvaise gestion du CPAS : – octroi abusif d’allocations – non-recouvrement de dettes – non-contrôle des revenus des demandeurs – mauvaise gestion des biens du CPAS – mécontentement du personnel – accueil insuffisant – non-respect des délais.
Ecolo ; Mme DURANT réfute ces 7 péchés capitaux en faisant valoir que les retombées de la crise ont un impact direct sur le nombre de « clients » du CPAS, en forte augmentation : perte d’emploi, chômage, endettement,…
Le CPAS, en tant qu’institution destinée à « éponger » la pauvreté d’une commune- et ce n’est pas peu dire à Schaerbeek – semble être la cible des insatisfactions – des frustrations – de beaucoup de monde, tant ceux qui y travaillent (parce que celui-ci déborde) que ceux qui aspirent à une vie plus humaine. Facile aussi pour l’opposition, voire démagogique, de s’acharner à pointer les aspects négatifs de son fonctionnement…
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