compte 2005 – budget 2006-07-09 M. Grimberghs s’étonne de l’ampleur du déficit 2005-2006 et regrette qu’on ne tienne pas compte des besoins réels du Neptunium en adaptant mieux le budget.
Déficit 2005 : 59.000euros
Déficit 2006 : 131.000euros
Qu’en sera-t-il en 2010 à cette allure ?
Comment diminuer les frais ?
Et revoilà, la piscine à la une ! Coût… gestion…
Mme De Dyn a une phrase imagée pour la Commune qui a bien agi « en épongeant ce qui déborde ». Il fallait mettre la piscine aux normes Gossuin, ce qui fut fait ; cela a un prix (rmq. : la piscine Neptunium est la seule piscine bruxelloise avec celle de l’Ecole militaire à l’avoir fait. Elle n’emploie plus de chlore pour épurer l’eau.)
Elle relève au passage le rôle joué par le groupe « Les usagers du Neptunium » qui par leur dynamisme a permis d’augmenter de manière significative la fréquentation …
M.Winkel ne comprend pas l’intervention de M.Grimberghs (Il est vrai que le Neptunium a déjà fait l’objet de beaucoup d’interventions, d’interpellation…).
Toutes les piscines sont en déficit notamment à cause du prix très faible de l’entrée.
Il explique l’accroissement du déficit par l’engagement d’un 6ème maître-nageur (40.000 euros /an) du surcoût du gaz : 40.000 euros et d’un contrat de maintenance de 12.000 euros.
S’il y a des difficultés dans la gestion, il n’y a pas de dérive.
Maintenant il s’agit de finaliser les travaux de la piscine, recevrons-nous l’aide de la Région ?
M. De Herde : quand on approuve les comptes 2005, on est conscient du déficit (petit, d’après lui) et on le couvre. La somme dévolue à la piscine est fixe depuis 2001, il est normal que le déficit augmente et, chaque année, on le comble. L’important c’est que le Neptunium soit en ordre.
Conclusion de M.Grimberghs : il a voulu par sa remarque conscientiser les conseillers sur le fait qu’ils approuvent un budget avec un déficit prévisible.