Point 71 : retour à un accès normal pour les parents des écoles communales, suite à l’abaissement du niveau de menace de 3 à 2 (Axel Bernard).
L’intervenant PTB, comme l’écolo Barbara Trachte, trouvent que les mesures de sécurité prises autour des écoles communales, ne tiennent pas suffisamment compte des difficultés rencontrées par les parents dans leurs relations avec les directions et les enseignants. Des interpellations dans ce sens ont déjà eu lieu dans un passé récent.
L’échevin Michel De Herde rappelle que ces mesures ont été décidées après les attentats de Bruxelles. Comme le niveau de menace vient d’être revu à la baisse, il annonce de très prochaines concertations avec les directions et les associations de parents pour faciliter l’accès aux écoles.
Points 72-73-74 : trois questions orales sur le même sujet : la situation des enseignants, notamment lors de nouvelles affectations et l’état du dialogue social avec les autorités scolaires (Ahmed El Maslouhi (PS), Axel Bernard et Georges Verzin).
Les intervenants s’inquiètent du climat social au sein des écoles communales, entre enseignants, directions et pouvoirs organisateurs. Un mouvement de protestation de 220 enseignants vient en effet de se produire. Ceux-ci ont lancé une pétition, laissée sans réponse, et ont observé une heure de grève, suite à des mutations de professeurs. Selon certains, le règlement de travail serait obsolète.
L’échevin Michel De Herde certifie que le dialogue avec les organisations syndicales n’est pas rompu. Et il est prévu lundi prochain de revoir ensemble ce règlement qui fait problème. Il estime que les procédures dans le cadre de changements d’affectation ont été respectées.
Il minimise enfin l’importance de l’action des enseignants : 220 ont signé la pétition ; cela veut dire que les 680 autres ne l’ont pas soutenue… !
C’est la vieille histoire du verre à moitié plein et du verre à moitié vide. On se rassure comme on peut.