bulletin 094 (1-3 2011): Edito: Démo revigorée !

En 1988, “Démocratie Schaerbeekoise” vit le jour. Elle se définissait comme « un mouvement pluraliste, indépendant de tout parti, qui vise une meilleure information et participation des citoyens à la vie communale, et ceci par (a) la réalisation d’un bulletin trimestriel relatant les débats du conseil communal, (b) l’organisation d’assemblées à thème, (c) le lancement d’initiatives spécifiques sur des problématiques schaerbeekoises »1.

Le 2 février 2011, l’Assemblée Générale (A.G.) a décidé de maintenir son existence, son organisation et ses activités jusqu’aux prochaines élections communales (octobre 2012).

Alors que le 27 octobre 2010 il n’y avait pas suffisamment de candidats pour constituer un bureau valable et opérationnel, la disparition éventuelle et la dissolution/liquidation devaient être envisagées et ratifiées par une assemblée générale.

Or qu’avons-nous pu constater lors de l’A.G. du 2 février 2011 ? Démocratie Schaerbeekoise reprend vie, et de plus belle ! L’appel a bien été entendu : 19 présents et 8 nommément excusés, ont non seulement décidé de « sur-vivre » mais aussi de « re-vivre » , d’étoffer solidement le Bureau actuel par la participation de Sylvie Kempgens et Chloé Houyoux, de constituer un groupe de travail sur les « Structures communales » (Jan Busselen, Elizabeth Cohen, Anne Deroitte, Chloé Houyoux, Luc Uytdenbroek, Malte Woydt, Albert Martens), de mettre sur pied un groupe « Promotion auprès des jeunes » (Martin Degand, Xavier Closon) et peuvent bénéficier d’aides ponctuelles de certains (Myriam Bayet, Lutgarde Dumont, Danièle Olivier). Pierre Massart continuera d’assurer la tenue des comptes ainsi que la mise à jour du fichier des abonnés.

Démocratie Schaerbeekoise, tel un phénix, renaît donc bien, revivifiée … au moins jusqu’aux prochaines élections communales.

Après ? …On verra… tout en espérant bien que de ce nouvel enracinement bourgeonneront de nouveaux rejets, jusqu’en 2018, pour fêter nos 30 ans ! Dans l’immédiat, l’essentiel est que le traditionnel « creux de vague de la mi-mandat » soit derrière nous.