C’est ce que M. Laurent LIENARD, représentant la cellule du même nom, s’est efforcé d’expliquer au Conseil, en mettant l’accent sur la façon d’analyser les données susceptibles d’orienter l’action policière de la zone. Il s’agit donc de traiter « de façon intelligente » les informations disponibles en matière :
- de criminalité connues principalement à partir des plaintes enregistrées de façon systématique : de quoi s’agit-il ? cela s’est passé précisément où ? et à quel moment de la journée ? avec quel modus operandi ? Ceci afin de constituer une image du phénomène de façon à prendre les bonnes mesures préventives et à (ré)orienter les ressources disponibles.