cc 2011-11-30: 45-56. Dépenses diverses.

De nouveau, des projets de dépenses :
– pour renouveler le gazon synthétique à l’aire multisports sise avenue Voltaire : 20.000 € ;
– pour traiter contre l’humidité les murs enterrés de la conciergerie du centre aéré d’Ohain : 22.000 € ;
– acquérir 2 unités d’aspiration de copeaux de bois pour les ateliers de menuiseries du CTR : 55.000 € ;
– désamianter des bâtiments communaux : 77.440 € ;
– remettre en état le parquet de la salle de gymnastique de l’Ecole 10 : 20.000 € ;
– réaliser un relevé détaillé de l’église Saint-Servais en vue de sa restauration : 45.000 € ;
– rénover la salle de bain du logement au n° 75 rue de Locht : 3.224 € ;
– pouvoir faire appel n’importe quand dans l’année à un bureau d’ingénieurs en stabilité : 35.000 € ;
– renforcer des plafonds et restaurer des linteaux au Groupe scolaire Josaphat-Ruche : 175.000 € au lieu des 130.000 € initialement estimés ;
– réaliser, dans le cadre des travaux de réaménagement de la cité Terdelt, une étude de sols pour caractériser les terres à excaver et à évacuer : 27.000 € ;
– acheter de la signalisation et du mobilier urbain : 80.000 € (c’est donc ce que coûtent les innombrables signaux qu’arbore désormais le moindre tronçon de rue à Schaerbeek : tout cela est-il vraiment indispensable ? Il ne me semble pas que les autres communes soient aussi encombrées de panneaux que nous …) ;
– procéder à des études de reconnaissance de sols vraisemblablement à dépolluer (dans le cadre de contrats de quartier : au 110-112 rue de l’Agriculture et au 94 rue Gallait) : 36.000 € ;
– compléter la mission d’étude de signalétique directionnelle destinée à guider les piétons dans l’espace public schaerbeekois : 20.000 € ;
je vois dans le dossier du banc de presse qu’il s’agit de réaliser les cartes et plans de proximité (« Relais Information Service » – RIS) qui localiseront des éléments de patrimoine local, voire ( !!) des services utiles à la population, RIS qui font déjà partie de la signalétique urbaine bruxelloise et ixelloise (encore des panneaux, donc !!) ;
Mme VRIAMONT conteste cette dépense : on vient à peine d’approuver le projet et, sur la base des constats du bureau d’étude dans d’autres communes, on le change déjà !? L’Echevine Mme SMEYSTERS lui répond ce qu’elle lui aurait déjà dit en commission : l’idée était sur la table depuis quelques temps et ils n’ont pas tout repris des suggestions que le bureau faisait. Le groupe socialiste votera contre.
Ces bureaux d’étude demandent des fortunes pour effectuer du travail qui devrait, selon moi, rester une prérogative des pouvoirs publics : n’a-t-on vraiment pas les compétences pour ce faire au sein de l’administration ?! Et … est-il vrai que les autorités régionales préfèrent payer des bureaux d’études que subsidier le niveau de pouvoir suivant ?