On commence par les recettes 2005, présentées par le Bourgmestre : elles sont en augmentation dans l’ensemble. Les taxes communales sont soumises au fond de vérification des comptes.
Mr WINKEL : le P.P. a diminué. Ne pourrait-on faire des transferts vers la Police et le CPAS ? Le plan de redressement devrait être revu.
Mr GRIMBERGHS s’abstient de répondre, il n’a pu faire les vérifications des comptes en cette période électorale.
Le Bourgmestre ajoute encore que les recettes communales ont augmenté davantage que les aides régionales. Il fait remarquer également qu’il faut distinguer les recettes du rendement de l’impôt : les recettes étant liées davantage à la conjoncture, et donc plus aléatoires, le rendement étant plus stable et correspondant à une moyenne en fonction des recettes.
Taxes communales :
F. BLANMAILLAND demande avec insistance au nouveau et prochain collège de procéder à une réelle analyse et à une réflexion en profondeur des résultats et du rendement de ces taxes. En l’occurrence, celles énumérées sous l’ordre du jour de la séance sont en fait des renouvellements. Elle en appelle instamment à la responsabilité du bourgmestre pour attirer l’attention du nouvel échevin sur la nécessité de faire ce bilan.
La Commune bénéficie tout récemment d’un octroi de 3 Millions d’€ comme fonds de réserve pour les créances douteuses et non recouvrées, soit la part de ‘non-valeur’ d’une créance.
Etant donné la légèreté du programme de ce soir, j’en profite pour citer quelques exemples de taxes, en distinguant le règlement-taxe du règlement-redevance. Pour les premières :
Emplacements de roulottes, chantiers, dépôts, occupation de la voie publique par des chaises, tables, étalage de marchandises, distribution à domicile de feuilles publicitaires, journaux contenant de la publicité commerciale, banque et accessoires (self-banking, etc), emplacements de parcage…
Pour les secondes :
Exhumations, caveaux d’attente, réouverture de caveau de famille, médecin-légiste, activités ambulantes, places sur les marchés, affichages publics et privés.