Mr. l’Echevin G. Verzin nous communique le texte rectificatif suivant,
concernant l’erreur commise dans mon article de D.S. n°67 p.16-17 au sujet du décès de Mr. Nols.Pierre Massart.
Aux lecteurs de Démocratie Schaerbeekoise
Le n0 67 de Démocratie schaerbeekoise se faisait l’écho du décès de l’ancien bourgmestre de 5chaerbeek, Roger Nols.
Comme beaucoup de schaerbeekois attachés à notre commune, j’en ai pris acte. Nul ne peut, en effet, se réjouir de la disparition d’un être humain, quels qu’aient été les griefs que nous somme toujours en droit de formuler tant Schaerbeek souffre, aujourd’hui encore, des conséquences de l’image négative de notre commune qu’il a suscitée en stigmatisant la présence de communautés d’origine étrangère sur notre territoire.
Pendant plus de 20 ans, j’ai combattu pied à pied pour faire prendre conscience à ses électeurs, que l’avenir de Schaerbeek ne résidait pas dans les mains de démagogues qui utilisent le rejet des autres comme attrape-voix électoral mais bien dans la prise en compte de l’intégration économique et sociale de tous ceux et celles qui ont obtenu légalement le droit de vivre en Belgique, et dans la construction de rapports harmonieux entre ceux-ci et la population belge, basés sur le respect des droits mais aussi des devoirs de chacun à quelque communauté qu’il appartienne.
C’est donc avec beaucoup de tristesse que j’ai vu mon nom mentionné dans les colonnes de Démocratie schaerbeekoise comme ayant assisté aux obsèques de Monsieur Nols, donnant ainsi faussement l’impression que je pouvais de près ou de loin, partager aujourd’hui des opinions que j’ai largement combattues hier.
Il n’en est à l’évidence rien tant mon engagement actuel au sein du mouvement réformateur que mon action au sein du département de la culture dont j’assume la charge font jour après jour la démonstration des valeurs humanistes dont je me veux, encore plus qu’hier, l’ardent défenseur.
Merci dès lors de bien vouloir répercuter cette mise au point dans les colonnes de votre prochaine parution.
Je vous prie de croire en l’assurance de mes sentiments les meilleurs.
Georges VERZIN