Bernard Guillaume commente les nouvelles taxes en matière de prostitution. Il est notamment établi une taxe de 1.000 euros sur les immeubles ou parties d’immeubles appelées « carrées » et de 4.000 euros/serveuse, à charge de l’exploitant. Plusieurs conseillers interviennent dans la discussion qui suit. Ibrahim Donmez se plaint de l’absence de débat de fond sur la prostitution qui ne serait abordée que par le volet fiscal. Isabelle Durant fait référence à une excellente étude française sur la question ; elle souhaite que l’on évalue bien les effets de cette nouvelle réglementation. Sfia Bouarfa demande aussi un débat plus approfondi et autre que financier. Clotilde Nyssens et Bernard Clerfayt estiment qu’on a déjà abordé cette question sous ses différents aspects : via le règlement de police, les permis d’urbanisme, les contrats de quartier, la collaboration avec les associations spécialisées (telles qu’ « Espace P. »). Et des contacts ont été provoqués entre ces dernières et les riverains.