On passe aux interpellations, dans un brouhaha total :
M. Grimberghs s’étonne tout d’abord que le Plan communal de développement soit au point mort, alors que l’accord de majorité avait consacré cet outil comme ossature de son action !
Le Bourgmestre lui précise que le Gouvernement Régional, en octroyant des financements, a relancé les Communes sur leurs PCD (qui sont une obligation légale, en fait) ; effectivement, le PCD constitue un cadre stratégique global important pour l’administration, et un outil précieux pour améliorer la transversalité (qui n’est peut-être pas le point fort de cette législature …) ; la base de travail publiée en 1999 doit aujourd’hui être réactualisée, ne fût-ce que pour tenir compte de la nouvelle majorité et du plan de redressement ; toute une série d’outils statistiques et de documents stratégiques sont rassemblés et les dépenses sont budgetées ; mais je suis surprise d’apprendre que ce PCD, si formidable et pour lequel -si mon souvenir est bon- on avait tant félicité l’Echevin de l’Urbanisme de l’époque, ce PCD donc avait été rédigé par un sous-traitant !!
M. Grimberghs signale qu’il sera utile d’avoir bientôt un débat sur les objectifs à moyen terme, et surtout sur tout ce qui concerne cette fameuse transversalité !