Il s’agit de modifications d’ordre technique qui ne soulèvent pas de grosses controverses.
L’échevin, Michel De Herde, note une augmentation des recettes de 2,14 millions et des dépenses de 1,1 million (pour des rétrocessions d’aides régionales au CPAS et au CHU Brugman), ce qui fait que le déficit budgétaire se réduit d’un million par rapport au mois de juin. Cette évolution s’inscrit dans le plan de gestion voté, dont on attend toujours l’adoption par la Région.
L’échevin, Vincent Vanhalewyn, signale des modifications mineures au budget extraordinaire.
On entend ensuite de brèves répliques de membres de l’opposition : Yves Goldstein (PS) ne croit pas à « l’optimisme « budgétaire » de la majorité ; Georges Verzin (MR) redit l’importance de l’allocation optimale des ressources administratives et financières, faisant allusion à la création – critiquée – de la cellule stratégique consacrée à la recherche de nouvelle subventions.
C’est bien sûr l’avenir qui les départagera.